Rapport annuel 2022
L'année 2022 a marqué un tournant pour notre institut avec la création de son nouveau département dans les technologies (WEL-T) et un impact sociétal et économique croissant dans la santé (WELBIO).
L'année 2022 a marqué un tournant pour notre institut avec la création de son nouveau département dans les technologies (WEL-T) et un impact sociétal et économique croissant dans la santé (WELBIO).
Félicitations à Philippe Denoël, responsable de la R&D externe des vaccins chez GSK, qui succède à Jean Stéphenne à la présidence du Conseil d'Administration du WEL Research Institute.
L’équipe de Benoit Van den Eynde a découvert un nouveau mécanisme fondamental, grâce à des molécules précédemment utilisées pour traiter l’hypertension, qui pourrait aider le système immunitaire à mieux combattre les cellules cancéreuses.
De la recherche au patient: Comment la compréhension des mécanismes du développement vasculaire dans le labo de Miikka Vikkula a permis le traitement prénatal d'un fœtus souffrant d'une malformation lymphatique par l’équipe du Dr. Laurence Boon.
Depuis 20 ans, l’équipe de Stefan Constantinescu tente d’établir les bases moléculaires de certains cancers du sang (néoplasmes myéloprolifératifs) avec plusieurs découvertes à la clé.
Laure Bindels et son équipe ont démontré que l'altération de la signalisation du récepteur AHR favorise les troubles hépatiques dans la cachexie cancéreuse, un syndrome qui induit perte de poids, fonte musculaire et déficit immunitaire.
L’équipe d’Amandine Everard a démontré un lien causal entre le microbiote intestinal, et plus précisément un métabolite phénolique produit par celui-ci, et les comportements alimentaires compulsifs.
Ana Beloqui et son équipe ont développé une formulation orale, à partir de nanoparticules lipidiques, de médicaments habituellement administrés par injection sous-cutanée dans le traitement de la stéatose hépatique non alcoolique.
L’équipe de Cédric Blanpain a découvert que RHOJ permet aux cellules cancéreuses présentant une EMT de résister à la chimiothérapie.
Thomas Marichal et son équipe ont découvert que les monocytes sanguins, considérés auparavant comme des cellules différenciées, sont en fait capables de proliférer et ce, afin de remplacer les macrophages des tissus.
Jean-François Collet et collaborateurs ont découvert que la chaperonne GroEL travaille avec CnoX, une chaperédoxine qui assure le contrôle de la qualité redox des substrats de GroEL.
Decio L. Eizirik est le récipiendaire de la prestigieuse « George Eisenbarth Memorial Lecture » au programme de la 15ème réunion annuelle du nPOD en Floride, USA.